LITHOTHÉRAPIE

Lithothérapie

Lithothérapie intuitive et harmonisation énergétique

Découvrez l’univers de la lithothérapie avec HOLYTHERAPIA, un espace dédié à l’exploration des bienfaits énergétiques des pierres. Chaque cristal est choisi avec soin pour accompagner des besoins spécifiques : ancrage, vitalité, sommeil réparateur, apaisement du stress ou clarté mentale. En résonance avec votre propre fréquence, les pierres agissent comme des soutiens naturels pour rééquilibrer et renforcer votre bien-être global. Laissez-vous guider par l’énergie des minéraux et ouvrez la voie à une transformation intérieure durable.

Histoire de la lithothérapie

La lithothérapie est une pratique très ancienne. Il y a plusieurs milliers d’années, les Égyptiens utilisaient déjà le pouvoir des pierres pour se soigner, mais aussi pour se protéger. À travers les différentes époques de l’Histoire, les pierres ont été exploitées pour guérir et protéger les Hommes. 

L’origine de la lithothérapie est plutôt difficile à retracer. Cependant, nous connaissons, depuis des milliers d’années, l’importance des pierres et des minéraux pour la médecine traditionnelle, les rois et les reines, et bien d’autres dimensions dans les civilisations du monde entier. On retrouve des pierres précieuses dans les tombes, ornant les armes, le cou, l’armure et les sépultures des grands chefs ou des femmes importantes.

Vous connaissez aussi sans doute le terme de « philtres », présents dans la mythologie, et notamment dans l’Iliade et l’Odyssée d’Homère. Ce terme sera plus tard assimilé aux sorcières : les philtres peuvent transformer les hommes en bêtes, en plantes, mais aussi en minéraux. On associe des pouvoirs de guérison à ces philtres faits à partir de minéraux, et ils servaient également de porte-bonheur dans les anciennes civilisations indiennes, égyptiennes, mésopotamiennes et grecques.

Dans les écrits antiques, et notamment ceux de Pline et de Dioscoride, le minéral est un composant essentiel de la médecine et des remèdes au Moyen Âge. Toute la tradition de l’alchimie se base sur les minéraux et la pierre philosophale, substance chimique capable de transformer les métaux comme le fer, le plomb et l’acier, en argent et en or, mais également capable de guérir les maladies et d’augmenter l’espérance de vie.

Rappelons toutefois que du Moyen Âge jusqu’au XVIIᵉ siècle, les médecins étaient aussi chimistes, c’est-à-dire alchimistes, mais aussi astrologues… Ils sont à l’origine de quelques remèdes « miracles », notamment une poudre utilisée jusqu’au XVIIᵉ siècle, mêlant le rubis, la topaze, l’émeraude, l’or et l’argent. À cette époque déjà, l’importance des couleurs est prise en compte : ce sera un élément de base de la lithothérapie moderne.

 Cette approche a débuté au XIXe et XXe siècle, lorsque les scientifiques vont rapprocher la nature du minéral et sa fréquence vibratoire, à celle des animaux et des hommes que les pierres peuvent soigner. On commencera alors à parler des maladies comme un dysfonctionnement énergétique, ce qui constitue la base de la lithothérapie telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui.

 On utilisait d’ailleurs la théorie des signatures selon laquelle la forme et la couleur de la plante ou du minéral renseignent sur sa fonction. Ainsi, les pierres rouges servaient à guérir les problèmes liés au sang, les pierres jaunes étaient utilisées pour le foie et la vésicule biliaire, les pierres aux couleurs chaudes pour les refroidissements, celles aux couleurs froides pour les inflammations…

Même si cette approche ne séduit pas les scientifiques, attachés aux liens de cause à effet, elle fait cependant partie de la plupart des médecines traditionnelles.

Au milieu du XXᵉ siècle, une femme américaine, Ruth Drown, évoque la vibration de chaque chose dans l’univers et invente un outil pour harmoniser les fréquences du monde avec celles des maladies. Même si la lithothérapie n’a rien de scientifique dans un sens, elle a le mérite de faire correspondre la matière interne du minéral (les atomes) avec un organe du corps humain par exemple. On remarque donc, depuis le XXᵉ siècle, une tendance à vouloir rendre « scientifique » l’approche du soin par les pierres.

Que sont les Pierres ?

Pour comprendre les cristaux, il faut partir du fait que notre monde est régi par quatre règnes différents : l’humain, l’animal, le végétal et le minéral. Ils sont liés et interagissent entre eux, mais l’homme est (semble-t-il) le seul capable de chercher à savoir qui il est, et quelles sont ses relations avec les autres mondes. Des correspondances entre les règnes et les quatre corps dont parle la médecine anthroposophique existent : chaque être humain aurait un corps physique (minéral), un corps éthéré (végétal), un corps astral (animal) et le Moi (humain). 

L’harmonie entre ces quatre corps au sein même du corps humain indiquerait une bonne santé. De tous les règnes, le règne minéral semble le moins connu. Vous retrouverez cette étrangeté du minéral, quand vous tenterez de « communiquer » avec les pierres : à la différence du monde végétal en constante évolution, ou du règne animal avec lequel vous partagez encore plus de points communs, les pierres ne semblent pas permettre un tel échange avec l’homme.

Pourtant, le règne minéral est le plus vaste et le plus ancien, et il est surtout à l’origine de tout le reste. On trouve des arbres millénaires, mais les cristaux, eux, peuvent avoir plus de quatre milliards d’années d’existence. Le règne minéral est donc le plus grand, il est partout et, de manière tout à fait exemplaire, il fait partie du fonctionnement humain. On sait que le corps est constitué de minéraux et qu’ils ont tous un rôle dans l’organisme.

En revanche, on sait moins que la silice (mélange de silicium et d’oxygène), et plus exactement le dioxyde de silicium, se trouve au cœur du noyau de la cellule humaine. C’est cette même silice que l’on retrouvera dans la mémoire des ordinateurs.

Qu'est-ce qu'un minéral ?

Dans son ouvrage Les Minéraux, Éric Asselborn définit le minéral comme « un corps naturel, plus généralement solide, caractérisé par une composante chimique et une structure atomique régulièrement ordonnée dans l’ensemble de son volume ». Cependant, cette définition correspond davantage à celle du cristal. Une petite précision s’impose alors. Même si la plupart des minéraux sont cristallisés, c’est-à-dire organisés, d’autres ne le sont pas (l’obsidienne et l’opale par exemple). Ces derniers sont alors appelés minéraux amorphes c’est-à-dire « sans forme » (de « a » signifiant « sans » et de « morphe » signifiant « forme »).

L’origine et la définition même du minéral serait plus juste, si on en parlait comme des constituants chimiques de la croûte terrestre, y compris les météorites. On appellera donc « roches » le mélange de différents minéraux. Les pierres que nous utiliserons sont des extraits de cette roche qui a subi les variations incessantes de la couche terrestre.

On retrouvera :

Les roches sédimentaires, qui désignent 75 % de la surface de la Terre et parmi lesquelles sont extraits, par exemple, les calcaires (calcite), les roches silicieuses (le quartz), les jaspes (cornaline et agate), le jais et les roches carbonées (le pétrole et le charbon).

Les roches magmatiques ou éruptives issues des éruptions volcaniques. Après plusieurs millions d’années de refroidissement, elles donneront les roches cristallines. Celles qui n’auront eu qu’une période de refroidissement très courte deviendront des pierres « amorphes », comme l’obsidienne qui est en verre de lave. Parmi les roches magmatiques figurent le granit, le quartz…

Les roches métamorphiques issues de transformations en surface (en montagne notamment), ainsi que des transformations chimiques que font subir les roches magmatiques aux autres roches lors de leur remontée en surface : le gneiss par exemple, mais aussi le mica, le schiste et également le marbre.

Se Ressourcer avec les Pierres

Portées sous forme d’amulette autour du cou ou des poignets, réduites en poudre sous forme d’élixir ou incrustées sur des objets de décoration, certaines pierres sont particulièrement réputées pour leur grand pouvoir de protection. Pourquoi sommes-nous sensibles aux énergies des pierres ? Contrairement aux idées reçues, cela n’a rien de mystérieux ni de magique. En réalité, notre sensibilité aux minéraux s’explique par des raisons scientifiques et rationnelles. Comme tous les êtres vivants, les pierres sont naturellement composées de minéraux tels que le magnésium, le calcium, le fer, le cuivre ou encore le potassium. Comme nous, les pierres sont faites d’atomes et d’électrons dont les mouvements libèrent une énergie qui impacte notre organisme. 

En Conclusion

Lorsque nous ressentons les bienfaits d’une pierre, c’est parce que les ondes émises par la pierre entrent en contact avec le champ électromagnétique de notre organisme. Selon son origine, sa couleur et sa composition chimique, chaque pierre va donc délivrer des énergies spécifiques. Chaque pierre est unique et permet de cibler un trouble psychique ou corporel bien précis. Par exemple, la pierre de lune est fortement recommandée pour les problèmes gynécologiques, la tourmaline rose pour les enfants hyperactifs, l’œil de tigre pour renforcer la combativité ou encore le cristal de roche pour apaiser les maux de tête.